Insectes
Ruches
Materiel
Divers
Accessoires


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varroa 4
paires de pattes
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varroas
tombés sur plaque après traitement
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galléria
ou fausse teigne
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dégâts
causés par la fausse teigne
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Larves de teigne
à l'extérieur sur une pile de hausses
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Vision aprés
le passage des larves de teigne
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Cheminée
pour lutter contre la fausse teigne
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La
fausse teigne:
m'a toujours posé des problèmes pour protéger
mes cadres construits. J'y ai fait face en brûlant de la baguette
de soufre. Attention les vapeurs dégagées sont toxiques
pour l'homme et très corrosives pour les fils des cadres,
d'où l'intérêt d'utiliser du fil inox (beaucoup plus
cher). La solution qui semble la meilleur, est d'empiler les
hausses les unes sur les autres afin d'obtenir une cheminée,
la fausse teigne déteste les courants d'air. Pour cela démarrer
la pile de hausses sur une grille à mailles de 3 mm, placer
sur un socle à 40 cm du sol, la terminée par une autre
grille à maille de 3 mm, laisser ensuite un espace de 15
cm avant de couvrir d'une protection contre les intempéries.
Les grille protègent contre le pillage et les nuisibles.
L'air doit bien circuler de bas en haut pour disuader la teigne. Soit en empilant les cadres dans une armoire, la plus hermétique
possible, dans laquelle je brûlais de la mèche de soufre, 2 cm pour 9 cadres
de hausse et 5 cm pour 10 cadres de corps. Soit en empilant les
hausses sur une plaque de contre plaqué ou d'aggloméré
de 12 mm d'épaisseur, la dernière avec trois cadres
manquants au centre, espace nécessaire pour la combustion
du soufre dans un récipient en métal, la fermeture
du haut faite avec une autre plaque et une grosse pierre. En
2004 j'ai fait lécher les cadres par les ruches d'où
ils provenaient (éviter une éventuelle contamination
par une maladie non détectée), durant quatre jours.
Attention
le léchage libre, relève du pillage et entraine beaucoup
de cadavres d'abeilles. Puis j'ai empilé
les hausses comme ci-dessus, mais en faisant un joint au silicone
entre chaque élément, ainsi j'ai eu une bonne étanchéité. Dans
un récipient en verre posé dans la dernière
hausse, (celle où il manque trois cadres) j'ai versé
une boîte à pellicule (30 ml par hausse) rase d'acide acétique,
par évaporation c'est un bon désinfectant qui me permettra
de réutiliser ces hausses sans risque de contamination. Les
vapeurs de cet acide tuent la teigne à tous les stades. Un
mois après j'ai brûlé du soufre (2 cm de mèche
par hausse) et refait le dernier joint au silicone. L'acide formique
est aussi efficace dans les même conditions. Utilisez des
gants pour votre protection. Le résultat
est très bon, maintenant le froid se chargera de la protection.
Au mois de mars prochain je referai une fois à l'acide acétique,
puis j'aérerai sérieusement quelques jours avant de
distribuer les hausses aux ruches (fin avril). J'ai essayé
le B401 (bacillus thuringiensis), efficace, mais je répugne
à répandre ce produit sur mes cadres, sa couleur et
son odeur ne m'enchantent pas, c'est pourtant la méthode la
moins contraignante. http://www.vita-swarm.com/fiche_b401.html Si vous avez un congélateurs bahut
vous y faites séjourner 24 heures vos cadres et ensuite
vous pouvez les stocker dans un meuble hermétique, le froid
détruit oeufs, larves et papillons, cela n'empêche
pas d'autres papillons de venir pondre une fois les cadres sorti
du congèlateur.
Dans
tous les cas une bonne surveillance est nécessaire. Autres prédateurs:
le poux braula qui lui a trois paires de pattes, les frelons, les
guêpes, les oiseaux,
les crapauds, les reptiles. Les
fourmis: La première chose
à faire est de tenir le pourtour des ruches propre (1 mètre
carré suffit), sans végétation qui servirait
d'échelle aux insectes de toutes espèces pour
accéder à la maison de nos amies. Pour cela,
j'utilise tôt le matin une petite cisaille que je manoeuvre
en douceur, afin d'éviter le bruit émis par les lames,
les abeilles le détestent et le font savoir à coup
de dard. Avec mes supports à pied unique c'est très
facile. Éventuellement il est possible d'utiliser un peu
de chlorate de soude comme désherbant. Ensuite répandre au
sol
un mélange à part égale de suie écrasée
et de soufre en poudre, deux à trois poignées par
ruche deux fois l'an. J'utilise aussi les branches et les feuilles
de laurier sauce posées au sol, des feuilles entre le couvre
cadre et le toit. Chaque fois que
je découvre une ruche, avant de remettre le toit, je saupoudre
le couvre cadre de fleur de soufre. Ces petites précautions
suffisent à éliminer le désagrément
fourmis. Au printemps 2006 j'ai subi une véritable invasion, de toutes petites fourmis,
la fleur de soufre et les feuilles de laurier ont préservés les colonies.
Il y en avait tellement que j'ai dû prendre une mesure radicale.
Sur un morceau de plastique (découpé dans une bouteille d'eau ou tout
simplement un morceau d'aluminium que l'on utilise en cuisine), j'ai
déposé une grosse goutte d'anti-fourmis (un tube que l'on trouve dans
pratiquement tous les commerces, c'est gélifié), j'ai recouvert le tout
d'une protection (une tuile creuse). J'ai disposé cinq de ces pièges sur
les chemins des fourmis au sol à un mètre des ruches, 48 heures après il ne restait plus aucune fourmi.
Il est impératif de bien se laver les mains après avoir tripoté ce
produit toxique.
Autre mixture pour détruire les fourmis: 1/3 de
sucre mélangé à 2/3 de borax à déposer
hors atteinte des abeilles. On le trouve en bricolage soudure.
Maladies visitez
le lien 8 apiculture (en Français), apprendre,
pathologie, maladies. du
couvain: loque américaine, loque
européenne, couvain sacriforme, ascophérose. des
adultes: acariose, nosémose. commune
au couvain et aux adultes: varroase, mycoses, intoxications par pesticides
agricoles. Varroas
Lorsque vous trouvez à proximité du rucher des abeilles
qui se trainent au sol, regardez leurs ailes, si elles manquent,ou
sont atrophié, alerte,
c'est grave, vous ne reverrez pas votre colonie l'année suivante,
il faut agir vite. Actuellement le thymol est bien utilisé dans les produits
de traitements, il semble avoir une bonne efficacité. Je
vous livre mes constats et recommandations pour vous éviter
mes déboires. J'ai constaté que les ruches traitées
avec les produits à base de thymol étaient sujettes
à pillage, d'où de nombreuses abeilles mortes près
de leur ruche, voir des ruches mortes. J'explique cela par le fait
que le thymol a une odeur très forte ce qui fait que toutes
les abeilles des colonies traitées ont la même odeur,
ainsi les gardiennes ne distinguent plus les amies des pillardes.
Nous utilisons le parfum pour les réunions de colonie, mais
seulement sur les deux colonies concernées, pas sur toutes
les ruches. J'en conclus que les traitement au thymol favorisent
le pillage d'où les problèmes constatés, mais
ne doit pas être cause de sa non utilisation. Plaques de contrôle:
Je les enduis avec de la graisse à traire,
elle est d'un emploi facile avec un pinceau, (en vente dans les
magasins de produits pour l'agriculture, comme « agri sud
est »). Quant aux traitements aux cordons de vaseline,
cire, miel ils semblent être positifs à condition de
les renouveler au moins tous les mois voir 2 ou 3 semaines en pleine
période. Traitement
à l'acide formique par évaporation a
ma préférance. J'utilise
un cadre aux dimensions de la ruche (500 mm x 431 mm et 40 mm de
haut pour une 10cadres) muni d'un grillage (maille de 3mm) à
sa base, sur ce grillage je dépose un couvercle plastique
d'environ 200 mm de diamètre dans lequel je dispose un papier
absorbant, qui reçoit les 30 ml d'acide formique (un tube
à pellicule ras). Ainsi les abeilles n'ont pas accès
au produit de traitement. J’attend 15 jours avant de remettre
une dose d'acide dans le cas où les chutes sont importantes. Il
faudrait arriver à moins de un varroas jour. Il est important
de compter sérieusement les chutes sur 24 heures. On est
surpris pas le nombre qui est bien supérieur à l’estimation
visuelle. Le vrai comptage n'est possible qu'avec des plateaux à
aération total. Sous la ruche placer la plaque de contrôle
(en tôle émaillée ou plastique en vente dans
le commerce apicole). Cette plaque de contrôle est graissé
avec un pinceau et de la graisse à traire qui immobilise
les varroas encore vivants. Pour le comptage j'ai fait une grille.
Un cadre en bois d'une taille supérieur à la plaque
de contrôle, dans le sens de la longueur j'ai tendu 7 fils
de fer fin. Je compte entre les fils avec l'aide d'une loupe de
90 mm de diamètre, grossissement 4. Après chaque comptage
un coup de raclette, on graisse à nouveau, on remet en place.
Laisser la plaque toute la duré du traitement. Faire un comptage
sur 24 heures par semaine, au moins sur deux colonie, les plus infestées,
pour se faire une idée de l'importance de la population de
varroas. Deux voir trois traitements fin août septembre et
un au printemps trois semaines avant de poser la hausse. En fin
de traitement retirer le matériel utilisé. Ces traitements,
et de bonnes provisions (à vérifier en soupesant de
chaque côté au mois de mars), avec distribution d'un
pot de miel ou d'un pain de candi si nécessaire, sont les
conditions pour retrouver toutes les colonies au printemps. Je
recommande: de
traiter hors nourrissement, de ne pas traiter
par fortes chaleurs, de réduire l'entrée de toutes
les ruches à deux ou trois trous, sans oublier d'augmenter
l'aération par le plancher (risque de surchauffe à
l'intérieur des ruches et d'asphyxie des colonies), d'accompagner
ces mesures d'une surveillance accrue. Comportement
des abeilles face à varroas, sans intervention de l'homme. Les
constats que j'ai faits proviennent de 9 colonies sur 20 ans. Je
précise que ces colonies étaient abandonnées,
elles vivaient vraiment à l'état sauvage, aucune récolte
n'était faite. Partons d'une colonie avec une jeune reine,
beaucoup de ponte, forte population, prolifération de varroas,
arrêt de ponte prolongé, presque disparition du parasite,
passe l'hiver, et, au printemps la vitalité de la reine relance
la colonie. Entre août et septembre, il y a interruption
prolongée de la ponte. Toutes les abeilles mutilées
par l'acarien qui partent de la colonie, lorsque vient leur affectation
au travail extérieur, tombent à proximité de
la ruche et meurent. Il y a une dépopulation considérable,
certaines colonies tombent à 2 ou trois mille individus,
ce qui entraîne la presque disparition du parasite. Ensuite
la reine pond juste pour maintenir une population de survie. Au
printemps suivant le démarrage est lent, puis souvent la
colonie essaime, la première ou 2 ème année
jamais plus, il y a donc de nouveau une jeune reine pour faire face
au fléau. Avec ce cycle, il y a récolte pour la colonie.
Je n'ai pas vu de ces colonies livrées à elles-mêmes
disparaître, sauf la dernière (je suis intervenu). Je
reste persuadé que sans notre intervention le problème
aurait été réglé par les abeilles en
quelques années, certe avec des pertes. Voir la revue
SAR page 35 essai de Gotland. 2001
Que
sont devenues ces colonies: Les
deux premières dans des caisses en bois sans cadres. Je les
ai récupérées à la demande du propriétaire
du terrain. Après les avoir passées en ruche à
cadre et bichonnées, elles ont refusé de produire,
et, en trois ans elles ont disparu. Les deux suivantes étaient
dans des ruches 12 cadres Dadant, je les ai récupérées
pour un voisin, nous les avons laissées dans leurs ruches
sans rien changer sauf les avoir traitées au Schering. Même
scénario, pas de récolte et disparition dans les trois
ans. Les deux autres je les ai vues sur une avancée sous
un toit durant 29 ans sans que personne ne leur apporte la moindre
attention, sauf moi. Elles ont été détruites
pour la vente de la maison. Les deux dernières, à
cadres une Dadant et une Langstroth sont restées dans un
bois sous les ronces suite à la maladie du propriétaire,
puis celui-ci, avec mon aide a repris son activité apicole
(deux ruches). La dernière, en ce mois de septembre, il
ne restait qu'une grosse poignée d'abeilles, très
forte durant toute l'année, elle a subi une très forte
invasion de varroas. Fin octobre les abeilles du voisin (200 mètres)
sont venues la piller, il n'y aura donc pas de suite. En conclusion,
pour que de telles colonies puissent survivre il faut: 1) Aucune
intervention de l'homme (récolte). 2) Reine jeune. 3)
Pas d'autres colonies dans le voisinage qui puissent piller. Pour
les huit précédentes, il n'y avait pas d'autre colonie
dans les 800 m environnants. 2004:
Depuis une quinzaine d'années
j'ai la possibilité de comparer deux ruches du voisinage
aux miennes. Depuis cinq ans, elles n'ont plus droit aux traitements
contre varroas. Vous allez vous poser la question, pourquoi? Réponse
de l'intéressé: les abeilles ont toujours été
capable de se débrouillées face aux difficultés
qu'elles ont rencontrées. La conduite dictée par
le propriétaire est la suivante: Début avril, ouverture
pour voir le nombre de cadres occupés pour déterminer
du moment pour poser les hausses, juste en enlevant le couvre cadre,
pas plus. Fin avril pose d'une hausse sans cire (elle a été
manger par la teigne), pas plus. Fin août récolte
de la hausse de chaque ruche, c'est moi qui me le coltine seul.
Tellement les abeilles ont rempli chaque espace, il est difficile
de ne pas avoir de nombreuses coulures de miel, pourtant les abeilles
ne sont pas trop agressives. Bilan des cinq années: Aucun
essaimage, huit hausses récoltées, une seule année
pratiquement sans récolte et avec les colonies peu populeuses,
les ruches sont lourdes pour passer l'hiver. Je fais ne guère
mieux en me donnant beaucoup plus de mal est en traitant correctement. Cela
donne à réfléchir, j'espère pouvoir
continuer cette observation et vous en communiquer le résultat
chaque année. Pour
un traitement à l'acide oxalique: Visitez
les recommendations faites sur: http://www.apiculture.com/abeille-de-france/articles/acide_oxalique.htm Varroas:
la lutte est en évolution constante, nous avons obligation
de n'utilisé que des produits homologués et aux doses
prescrites, qui ne laissent pas de résidus dans les produits
de la ruche. En 2004 au printemps (avril) j'ai traité
avec un produit aux essences de thymol. Puis après la récolte
(août) un traitement par pulvérisation sur les deux
faces des cadres à l'acide oxalique. Deux semaines plus tard,
par évaporation d'acide formique (une boîte à
pellicule est égale à 30 ml), avec comptage des chutes
journalières de varroas sur la plaque mise sous le fond à
aération totale. Trois semaines après j'ai dû
recommencer sur une ruche où les chutes étaient supérieures
à cinq par 24 heures. Une semaine a suffi pour obtenir zéro
ou un. Ne pas ouvrir les ruches pendant les traitements. Pour
les traitements par évaporation j'ai fait une réhausse
de cinq centimètres de haut, avec à sa base un grillage
sur lequel je posais le récipient contenant l'acide (fond
de boîte à glace en plastique coupé à
trois centimètres de hauteur), le même que celui du
plateau de vol, afin d'interdire aux abeilles d'aller au contact
direct avec les acides. Cette réhausse est enlevé en
fin de traitement, elle serait un espace supplémentaire à
chauffer par les abeilles durant la mauvaise saison. Pour
les doses, et, plus d'information je vous invite à consulter: http://www.apiservices.com/articles/fr/varroas.htm
Aethina
tumida. http://www.inra.fr/opie-insectes/pdf/i134hauser.pdf http://www.beekeeping.com/abeille-de-france/articles/aethina_tumida.htm
http://www.beekeeping.com/sante-de-labeille/articles/aethina.htm
Frelon
venu d'asie. Liens
pour informations.l http://www.sanitaire-apicole17.org/infos/luttons-contre-le-frelon-asiatique/premiere-defaite-du-frelon-asiatique.html
http://www.rfi.fr/actufr/articles/086/article_49648.asp http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-868966@51-866145,0.html
http://www.beekeeping.com/sante-de-labeille/articles/vespa_velutina.htm
http://images.google.fr/images?q=vespa+velutina&ndsp=18&svnum=10&hl=fr&rls= GGIH,GGIH:2007-01,GGIH:fr&start=0&sa=N&filter=0
Syndrome
d'effondrement des colonies d'abeilles: Vous
pouvez voir sur internet tout ce qui est avancé comme causes
possibles et imaginables sur ce sujet très obscur où
aucune piste n'est retenue. Voir
ce que je disais dans mon parcours. Je ne serais pas étonné que l'humain en
soit le seul
responsable: L'hypothèse que les deux faits qui suivent
réunis provoquent cet effondrement ne me surprendrait pas,
ils entrainent un déséquilibre nutritionnel par le
manque de diversité qui est néfaste à la santé
de nos abeilles, elles quittent la ruche pour ne pas y revenir. 1) En généralisant la monoculture sur de grandes
étendues, supérieures au rayon
de butinage de nos abeilles. Plus de friches, plus de talus avec
leurs herbes sauvages, des forêts d'une seule essence, l'agriculture avec les désherbants
à outrance ( photo 1
et 2
), ne permet pas à nos abeilles d'avoir une
allimentation équilibrée. Mon
raisonnement: Une abeille ayant une alimentation déficiente,
est fragile, ne peut plus se défendre contre les parasites et
les maladies, elle devient agressive, manque d'énergie, vie moins longtemps,
elle quitte la ruche pour ne pas y revenir, de moins en moins d'ouvrières,
la reine réduit sa ponte la colonie
périclite. 2) En récoltant un maximum de
miel dans les ruches. On les nourrit ensuite au sirop de sucre pour
les provisions d'hivernage, ce n'est pas du miel de fleurs avec
tous ses composants, les
abeilles sont sur terre pour vivre de leur butinage sur beaucoup de plantes
trés variées, pas sur un nombre trés réduit.
En amateur je suis contre cette pratique. Je ne nourris que les jeunes
colonies qui n'ont pas suffisamment de provisions pour passer l'hiver
et bien débuter l'année suivante. Je n'incite pas
à la ponte et ne récolte que ce qu'il y a dans les
hausses, le corps me semble léger je laisse une hausse.
Eventuellement au printemps j'accorde un pain de candi. A ce
jour je ne connais pas le problème de ce syndrome, nous en
reparlerons. Ce
problème a déja existé, il y a longtemps un
agriculteur m'avait fait part de ce phénomène qu'il
avait vécu dans les années 1940 - 1950 alors
qu'il avait installé un deuxième rucher dans un secteur
calme mais dépourvu de diversité en flore (paturages
et foret de résineux). Je résume ma vision. Un
fond grillagé contre varroa. Redonnons de la diversité
de butinage à nos abeilles. Récoltons, surtout
ne pillons pas nos amies butineuses. Que les agriculteurs ne
nous les empoisonnent pas. L'expérience de quelques millions
d'année de nos abeilles fera le reste. Que comprendre? Après l'hiver 20007/2008, en avril dans le
Rhône les pertes sont estimés à 50%.
Dans le même temps je constate: en 2007 dans une hausse pour ruchette Dadant 6
cadres (de hausses) j'ai fais un essaim artificiel, puis j'ai laissé faire. Ce
printemps je constate une colonie en pleine forme sur ses 6 cadres de hausse!
Il était urgent d'agrandir leur habitation. Elle a brillamment passée l'hiver
sans encombre et sans mon intervention alors que des colonies sur dix cadres
bien pourvus en provisions sont mortes. L'agriculture: deux photos
pour montrer l'usage abusif de déherbants, sur une longueur
considérable dans l'unique but d'éviter aux plantes
tous contact avec la cloture électrique. Il est possible
de faire mieux, certe cela ne serai pas subventionné. En
2007 j'ai constaté que mes colonies n'ont pas construit
de cire, même les essains qui eux sont des producteurs de
cire très véloce, du jamais vu. La suite l'an prochain. Début
mars 2009 toutes mes ruches ont passé l'hiver, j'ai soupesé
un côté puis l'autre de chacune afin de juger de ce
qu'il leur reste de nourriture, je suis relativement confiant malgrés
une forte consommation cet hiver, j'attend avril pour la première
visite. Fin mars 2009 en un mois elles se s'ont
vidées il en reste une.
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